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Veille sur les facteur de changement des paysages

Patrimoine culturel

Notes pour la révision de la loi

Une révision indispensable pour le paysage

À défaut d'une loi sur le paysage

La loi sur les biens culturels permet de protéger les paysages au Québec. Dans cette loi le paysage s'appelle Arrondissement naturel. La redéfinition des termes usuels est un mal culturel qui n'est pas spécifique à la loi sur les biens culturels.

Cette loi date de 1972. En 2008, il n'y a que 4 Arrondissement naturels au Québec. Quelques photos, pas même une description sur le site web du ministère. Autant dire que le paysage n'existe pas au Québec. Pourtant, le nombre de touristes et leurs récits émerveillés démentent cette affirmation.

Cette disparité entre la réalité et la protection des paysages montre l'urgence de réviser la loi pour la rendre efficace.

Réduire la protection du paysage aux seuls paysages patrimoniaux est un contresens économique et esthétique. Une loi sur les paysages serait certainement mieux adaptée pour encadrer les interventions sur l'ensemble du territoire et permettre la protection des paysages passés, présents et à venir.

S'il faut conclure rapidement

Paysage, patrimoine culturel

Pour mémoire

À ceux qui auront à gérer les nouvelles dispositions sur les paysages prévue dans la refonte de la loi sur les biens culturels. Je vous recommande vivement:

Quelques commentaires et propositions en guise de résumé

Pour la préparation de la loi qui remplacera l'actuelle loi sur les biens culturels

Ce qui fait la force de la proposition actuelle:

Trois craintes à dissiper:

Parmi les améliorations possibles en voici trois:

Malgré le besoin d'une loi sur le paysage qui ne limiterait pas sa portée aux simples paysages patrimoniaux, il y a lieu d'améliorer la seule loi qui permette actuellement de protéger des paysages au Québec.

Quelques notes de lecture sur le cahier de consultation

Principes, moyens et consultation

De bons ingrédients pour réussir

Tous les documents essentiels sont réunis à la page Consultation publique pour une révision de la Loi sur les biens culturels

Dans l'introduction page 5:

Le mandat confié au Ministère faisait état de trois objectifs: - un projet de loi qui campe des principes comme le principe de développement durable guide les actions du gouvernement; - un projet de loi qui soit assorti d'une bonification du Fonds du patrimoine culturel québécois doté de façon permanente comme le Fonds vert; - un projet de loi qui fasse l'objet de consultations publiques.

On remarque l'influence de la loi sur le développement durable qui commence à faire son effet. On remarque également l'influence de la loi sur l'environnement pour le financement par un fond permanent. Ces trois objectifs sont des critères d'acceptabilité du projet de loi à venir. Le troisième étant dors et déjà en œuvre.

Étapes 3 et 4 de la protection prévues

Il en faudra 7 pour maîtriser la situation mais c'est un réel progrès

Page 9:
Loi relative à la conservation des monuments et des objets d'art ayant un intérêt historique ou artistique (1922), la Loi sur les biens culturels apporte de nombreuses réponses aux préoccupations de son époque, lors de son adoption en 1972.

Un rappel sur l'évolution de la protection qui montre la difficulté de la protection. En élargissant le sujet à protéger on cherche à mieux délimiter le domaine de définition du problème. C'est vrai en mathématique. C'est probablement vrai pour des objets historiques. C'est inopérant en paysage car le domaine de définition est trop vaste pour espérer le financer par les deniers publics. On notera aussi que cette évolution s'inscrit dans le processus des 7 étapes pour la protection des biens évoluant aussi bien physiquement que par le regard qu'on leur porte. La loi devra préciser ses limites pour chacune des étapes. Sinon l'accroissement des biens possibles à protéger sera toujours plus grand que la capacité de financement par le fond permanent. La délégation de protection notamment aux municipalité, aux MRC par la loi sur les biens culturels ou par d'autres lois est la piste actuellement utilisée, Le changement de ministère pour l'attribution des fonds ne fait-il que déplacer la question ? Comme au jeu de la patate chaude ? En réalité ce serait un risque énorme pour la conservation des biens culturels. La valeur d'un bien culturel n'est pas la même selon un point de vue local, régional, national ou international. Ce qui a de la valeur à un niveau peut très bien ne pas en avoir du tout à un autre. Confier la gestion d'un bien patrimonial à valeur nationale à une collectivité locale pour laquelle la valeur de ce même bien est considérée comme nulle n'est vraiment pas une bonne idée. Confier la gestion d'un bien patrimonial qui a une forte valeur locale à un niveau qui ne lui reconnaît aucune valeur n'est pas une bonne idée non plus. La loi devra reconnaître à chaque niveau de collectivité le droit de protection du patrimoine par intervention en cas d'urgence, citation et classement.

Trouver les mots pour ne pas mettre à mal le patrimoine

Un héritage de plusieurs cultures

Page 9:
Les autres lois intervenant dans la protection des biens culturels complexifient la question. Non seulement par les divers paliers à franchir mais aussi par la confusion quelles introduisent dans la définition de ce qui peut faire l'objet de protection.

Pour sa part, la Loi sur la conservation du patrimoine naturel (2002), conçue pour sauvegarder le caractère, la diversité et l'intégrité du patrimoine naturel du Québec, vise également la protection d'un patrimoine peut-être moins bien connu, celui des paysages humanisés

Le problème de notre double origine linguistique est ici flagrant. La locution paysage humanisée est définie par la loi en s'appuyant sur une tradition anglophone de désignation consensuelle. Mais séparée de son contexte comme le fait le présent document de consultation, elle devient interprétable dans la tradition francophone de précision de terme par qualification. Et alors ? en lisant la définition dans le texte de loi on s'aperçoit que le paysage humanisée n'est pas un paysage. On ne va donc pas protéger un paysage et encore moins un paysage rendu plus humain. Difficile de faire de la mayonnaise avec des spaghettis et de la sauce tomate. Vouloir préciser les termes est une tâche insoluble sans perdre une partie de notre patrimoine linguistique. Cette façon de tout redéfinir en faisant des glissement de sens est présent dans toutes les lois affectant la protection du paysage et des éléments qui le composent.

Un élargissement réducteur

Comment chercher à ne pas voir

Page 12:
Doit-on élargir le champ d'application de la LBC pour faire place à de nouveaux patrimoines?

Le regard du gestionnaire habitué aux pénuries est aux commandes. Plus de biens à protéger avec un budget constant veut dire moins d'efficacité. Plus de pression sociale sur des termes à la mode; il faut faire quelque chose. Essayons un instant des lunettes d'explorateur ou d'archéologue munis de la seule définition nouveaux patrimoines; quelque chose qui a de la valeur et qui a été légué par les générations précédentes. Les génération passées seraient-elles cachottières ? Il y a seulement une réalité à identifier. Elle existe ou elle n'existe pas. Elle a une valeur ou elle n'en a pas. Avec toujours un souci de replacer cette identification dans son contexte. Elle n'existe peut-être presque plus mais a fortement existé dans le passé. Elle avait peut-être une valeur faible dans le passé mais a une grande valeur pour l'avenir. Une loi de protection ne peut pas résoudre des problèmes de gestion quotidienne. Les budgets sont là pour les actions ponctuelles. Les fonds sont là pour les actions à long terme.

À trop vouloir bien faire

Une excellente conséquence d'une mauvaise cause est une mauvaise conséquence

Quels statuts devraient être appliqués et par quelles instances?

Les lois prévoient habituellement trois niveaux de protection. Un niveau d'urgence géré par décret. Une période de validation et de justification de la valeur du bien: la citation, l'inscription ou la reconnaissance. Une reconnaissance définitive de la valeur du bien: le classement. Ces deux niveaux de protection sont acquis au terme d'une procédure d'évaluation définie par la loi. C'est simple et généralement efficace même avec très peu de moyens. L'efficacité est dans les moyens alloués mais pas dans la complexité de la reconnaissance du patrimoine. La loi devra simplifier encore plus. D'abord supprimer les catégories de biens. Cela nuit à l'efficacité car les catégories proposées sont incluses les unes dans les autres. le bien mobilier, le bien immobilier (architecture et structures), le site (ensemble de biens immobiliers), le paysage et l'immatériel. La fiche d'identification et de description du bien patrimonial précisent les appartenances à chacune des catégories et leurs valeurs. Ce n'est pas pas la catégorie, c'est le bien qui a une valeur patrimoniale. La loi ne devra pas non plus répartir le travail entre les diverses instances. Nous avons déjà vue à la page 7 que faire protéger un bien national par une instance municipale ou réciproquement est une mauvaise idée.

À trop vouloir bien faire prise 2

Simplifier sans perdre le contrôle

Comment peut-on développer une approche qui permet de réduire le nombre de décisions prises en situation d'extrême urgence?

Le décret de protection, (arrêt des travaux ou autre action mettant le bien en péril) est la façon usuelle de procéder. Cette protection devrait pouvoir exister au niveau ministériel, au niveau régional et au niveau local. Pour éviter les blocages, ces décrets devraient avoir une duré fixe permettant de déterminer si le bien doit ou non faire l'objet d'une inscription, d'un classement ou d'un délai suffisant pour étude avant sa destruction.

À trop vouloir bien faire prise 3

Faire peu mais bien

Comment la loi et son application peuvent-elles être améliorées et tendre vers une efficience administrative renouvelée?

Simplifier et utiliser les mots avec la même définition que celle qu'on trouve dans un dictionnaire de poche. Un travail régulier d'inventaire devrait limiter les urgences. Mais surtout, éviter de se tromper pour ne pas avoir à refaire.

Aider les gens à faire ce qu'ils font bien

La volonté de faire et le savoir faire sont indispensables

Enfin, comment renforcer l'engagement de tous les acteurs impliqués dans la sauvegarde du patrimoine?

Leur donner les moyens de travailler formation, moyens financiers, effectif en cas de surcharge de travail et reconnaissance du travail accomplis. La consultation de professionnels permet d'éviter les errances.

Des errances dues au besoin de redéfinir les mots

Un héritage culturel de conquête par la destruction de l'existant

La notion de patrimoine immatériel mérite sans doute qu'on la définisse.

NON

Les définitions usuelles que l'on trouve dans un petit dictionnaire sont claires Patrimoine: biens matériels laissés par les parents. immatériel: qui n'a pas de consistance corporelle. Le rapprochement de ces deux mots montre quelque chose de nouveau à la fois matériel et immatériel. Ce tour de passe passe est la conséquence d'un fonctionnement par désignation consensuelle. Dans quelques années lorsque les pratiques auront intégré la possibilité que les parents laissent des biens immatériels, le terme de patrimoine sera suffisant pour désigner l'ensemble de ces biens. La loi peut donc accepter telle quelle la définition de l'UNESCO ou simplement préciser que les patrimoines à protéger devront aussi inclure les biens immatériels légués par les parents.
On notera au passage que le besoin de préciser le terme conduit à une complication pouvant conduire à une perte d'efficacité de protection du bien. La définition usuelle d'un paysage est un patrimoine immatériel tel que défini par l'UNESCO qui cherche à le protéger sous d'autres définitions dans d'autres textes. La dérive devient totale lorsqu'il y a confusion entre l'information et le média et que l'on tente de conserver l'un sans conserver l'autre.

Protéger un patrimoine ou des biens culturels

Matérialité du patrimoine et immatérialité de la culture

Devrait-on tenter de protéger ces témoins, porteurs de traditions, ainsi que les savoirs qu'ils transmettent ou même les événements qui mettent en valeur leurs savoir-faire?

C'est indispensable si on veut passer de la conservation à la préservation, deuxième des 7 étapes nécessaires dans la protection des paysages. La pratique ordinaire de gestion de territoire pour préserver les paysages n'a pas besoin d'outils très complexes. Sans vouloir généraliser à l'ensemble du patrimoine culturel immatériel, c'est certainement un indicateur à partir d'un exemple comportant une forte complexité. Il ne faut pas croire que la complexité du paysage (patrimoine culturel immatériel) nécessite des moyens complexes pour sa gestion et encore moins croire que l'une de ses parties permet de gérer les autres. Il y a besoin d'une fusée à trois étages. Un système d'alerte pour savoir s'il y a un potentiel de présence de l'élément complexe à protéger et du niveau de compétence requis pour intervenir. Une description de la situation normale avec guide de bonnes pratiques usuelles pour les situations les plus fréquentes. Un potentiel de ressources spécialisées pour les situations inhabituelles ou demandant des compétences particulières pour intervenir. Lorsque le paysage est le bien culturel, l'architecte paysagiste est la personne la mieux formée pour vous aider à définir s'il existe ou non, évaluer sa rareté, sa fragilité, son état et planifier les interventions nécessaires.

Paysage glissant

Pas un glissement de terrain mais un glissement de sens

Page 13:
La question se pose également pour la protection des paysages patrimoniaux, mais le tout premier défi du législateur est certes d'en établir une définition. Car il est indispensable, dans la diversité actuelle des concepts liés aux paysages, de dégager ce qui permet, par exemple, de différencier un paysage patrimonial d'un paysage humanisé ou de convenir d'une définition et d'une appellation communes ...

Nous avons déjà vu le problème de ce besoin de redéfinir les mots quitte à faire glisser dangereusement leur signification. Là on vient de franchir un deuxième pas dans le besoin de redéfinir les mots par la loi. Contrairement à ce que les apparences peuvent laisser croire, les définitions de l'UNESCO, de l'union Européenne, de la chaire en paysage de l'université de Montréal, du Conseil du paysage québécois et celles des dictionnaires usuels expriment le même concept. Le paysage est une étendue de pays qui s'offre à la vue. Cela me fait irrésistiblement penser au maître de philosophie et à monsieur Jourdain dans le Bourgeois Gentilhomme de Molière
MONSIEUR JOURDAIN: Par ma foi! il y a plus de quarante ans que je dis de la prose sans que j'en susse rien, et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela. Je voudrais donc lui mettre dans un billet: Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour; mais je voudrais que cela fût mis d'une manière galante, que cela fût tourné gentiment.
MAÎTRE DE PHILOSOPHIE: Mettre que les feux de ses yeux réduisent votre cœur en cendres; que vous souffrez nuit et jour pour elle les violences d'un.
MONSIEUR JOURDAIN: Non, non, non, je ne veux point tout cela; je ne veux que ce que je vous ai dit: Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour.
MAÎTRE DE PHILOSOPHIE: Il faut bien étendre un peu la chose.

Non, il n'est nul besoin de dire Territoire désigné comme tel par le gouvernement en raison de l'intérêt esthétique, légendaire ou pittoresque que présente son harmonie naturelle et de le renommer au passage Arrondissement naturel. En pratique la définition la plus simple est la meilleure: Paysage: Étendue de pays qui s'offre à la vue. Pour préciser que ce paysage est patrimonial il suffit de combiner les deux définition de paysage et de patrimonial. Étendue de pays qui s'offre à la vue et hérité de nos parents. Il serait utile de rebaptiser le paysage humanisé de la loi sur la conservation du patrimoine naturel avec son vrai nom biotope dépendant de l'activité humaine.

Le paysage patrimonial ne change pas, il se dégrade

Il ne faut pas confondre le tout et ses parties

Par ailleurs, le paysage patrimonial est appelé, comme son environnement immédiat, à se transformer progressivement, et on peut se demander s'il est souhaitable d'en figer une image dans le temps en lui attribuant un statut légal, et ainsi d'en empêcher l'évolution. Comment circonscrire ce qui rend un paysage patrimonial authentique?

Le paysage est inventé par un individu puis développé par une société. Le paysage est une étendue de pays qui s'offre à la vue. Le pays change, la vue sur le pays change mais ce qui fait le paysage, c'est le rapport entre les deux pas l'une ou l'autre de ses parties. Le rapport sensible entre les deux peut rester le même malgré l'évolution de ses parties. De façon générale, le paysage se développe et disparaît par le désintérêt du regard ou la modification lente du territoire qui le rend peu à peu impossible à observer. Cela s'accompagne souvent de manifestations visant à essayer d'empêcher les nouveaux projets d'aménagements. Une fois inventé, le paysage peut à nouveau apparaître dans un autre lieu ou dans une autre société.
Le paysage sublime est un paysage à la fois extrêmement beau et effrayant. Il a été inventé par les romantiques. Il est surtout dépeint dans des tempêtes en mer ou en montagne. L'intérêt actuel pour les paysages économiques et sécuritaires ne lui laissent que peu de chance d'exister. Pourtant, il a surgit en moi en janvier 1998 lors de la tempête de verglas dans des rues de village de la plaine du Saint-Laurent quand tous les poteaux et fils électriques étaient à terre. Pour moi le paysage sublime authentique est celui que j'ai pu vivre pendant la tempête de verglas. J'avais déjà pu l'expérimenter lors d'un matin d'orage sur les routes perchées dans les gorges vertigineuses du Vercors.
À part pour le découvreur ou le créateur du paysage, le paysage est patrimonial. En dehors des personnes ayant reçu en héritage la notion de paysage sublime, l'étendue de pays en période de crise de crise peut difficilement prendre cette valeur esthétique et être apprécié.
Si tous les paysages autres que personnels, sont patrimoniaux, ils ne le sont pas pour tous les groupes sociaux. Le paysage sublime est un paysage patrimonial suffisamment ancien pour avoir diffusé dans de nombreuses cultures mais il est extrêmement rare dans la région de Montréal.
Les paysages ne deviennent vraiment d'intérêt que lorsqu'ils disparaissent. Mais c'est alors trop tard. On ne peut qu'en conserver quelques lambeaux qui ne sont plus suffisant pour inciter au regard que l'on pouvait porter à l'étendue de pays. Seule une imagination débordante ou la recréation d'un rapport équivalent entre un morceau de pays et un regard particulier permet de retrouver à grands frais l'authenticité du paysage perdu. La restauration d'un paysage perdu est nécessaire pour qu'il fasse partie du patrimoine et qu'il ne disparaisse pas définitivement.
Le maintien d'un paysage en croissance ne se pose pas. Il se fait sans que personne n'y prête vraiment attention. Le maintien d'un paysage en déclin requiert toute l'habileté des professionnels pour permettre la coexistence de plusieurs paysages dans un même territoire.
Le paysage ne change pas. Il se dégrade. Le paysage d'agriculture familiale ne devient pas un paysage d'agriculture industrielle. L'un remplace l'autre mais ils n'ont rien en commun. Le paysage d'agriculture familiale s'est progressivement dégradé par le changement de réalité du territoire. Le paysage d'agriculture industrielle ne s'est pas vraiment développé sous la triple pression du regard fortement positif et encore très présent d'une agriculture familiale, du regard négatif sur les autres industries qui s'effondre avec la disparition des manufactures et du regard environnemental qui prend de l'ampleur. L'agriculture traverse une crise grave faute d'un regard esthétique qui pourrait la soutenir.

Textes précédents sur le sujet et autres références

Bruno Gadrat

Orig: 2008/03 Rev: 2008/05/25

200803-patrimoine-culturel.html

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