Cohérence de l'idée à la réalisation - Impôts et taxes
Contrôle de la réalisation du paysage
Les impôts et les taxes sont à la base de l'organisation qui permet la création et le maintien des richesses naturelles.
Contrairement à la confusion générale qui existe ailleurs, dans le projet de l'hippodrome, les rôles des impôts et des taxes sont clairement distincts et fixés dans la constitution du lieu.
Le montant des impôts, tous paliers de gouvernements confondus, est fixé par la constitution à 50% pour tous les habitants du quartier de l'hippodrome. Au niveau local, il est prélevé à la source en travail rendant service à la communauté et au maintien de son milieu de vie.
Il fait l'objet d'un retour d'impôt en argent local permettant une vie décente. Pour les autres paliers de gouvernement, des accords sont trouvés pour rejoindre les mêmes objectifs.
Pour se faire une image de cet impôt qui fait le moteur économique du quartier de l'hippodrome, on pourrait le traduire dans le reste du pays par "Tout le monde est fonctionnaire à mi-temps avec salaire décent à plein temps".
Tout habitant du quartier doit payer de l'impôt de sa naissance a sa mort. Il n'y a donc aucune incertitude sur l'avenir ni de disparité de richesse induite par le système fiscal.
Le service à la collectivité est adapté aux capacités des habitants et aux besoins de la collectivité.
Les principaux services à la collectivité sont la création de nature riche, l'éducation et la santé des habitants.
Le retour d'impôt en argent nécessite un contrôle de la création et de l'usage de la monnaie par la collectivité. Étant donné le contexte économique autour du quartier de l'hippodrome, le quartier utilise une monnaie locale.
Le quartier et les habitants du quartier utilisent une comptabilité économique, une comptabilité sociale et une comptabilité environnementale. Les bilans comptables permettent de fixer les taxes nécessaires pour corriger les effets indésirables.